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la grande migration

La grande  migration

Le temps est venu de reprendre la  responsabilité de nos vies respectives et d’endosser, réveiller la maîtrise en nous, de l’extérioriser dans notre vie quotidienne.

L’extériorisation de la maîtrise nécessite la montée de diverses marches dans notre vie quotidienne;

Parmi celles-ci, il est important et il nous appartient de :

  • – Ne plus créer de dualité dans nos pensées, dans nos paroles et dans nos actes. Dire ou penser :« il fait beau aujourd’hui …» crée de la dualité,  « il fait beau.. » n’en crée pas ; « c’est un grand pas pour l’humanité… » crée de la dualité, «  c’est un pas pour l’humanité… » n’en crée pas ; « je t’écoute maintenant …» crée de la dualité,  « je t’écoute » n’en crée pas.
  • – De lâcher prise sur toutes ces choses qui ne dépendent pas de nous. D’accepter d’abandonner   notre position quand celle-ci nourrit la dualité. D’accepter que la vie puisse se dérouler sans notre intervention.
  • – S’ancrer dans la bienveillance et sa communication. C’est vivre dans la douceur de l’être. Il n’y a   plus de « il faut », plus de  « je dois » et encore moins de  « tu dois », plus de « mais » ou de « oui  de mais », plus de « si », plus de comparaison, plus de jugement… Le ré- apprentissage de la  communication et sa bienveillance tant au niveau de la pensée que de la parole est une étape clé à acquérir dans l’accession à la maîtrise.
  • –  Etre juste pour soi et pour la vie et celle qui nous entoure. Cela nécessite la mobilisation de notre capacité à cultiver la vigilance, le discernement et la conscience de l’instant à vivre le présent dans la lumière.
  • – Nourrir l’amour inconditionnel  pour tous les êtres et la vie. Une personne contrariée ou qui vit de l’animosité à notre égard est un être de lumière qui cherche sa propre lumière ; à quoi nous  renvoie cette personne ? Cultivons la gratitude de voir en chaque personne une synchronicité dans l’accession à notre maîtrise.
  • – Etre un modérateur de nos propres pensées pour neutraliser la nocivité de celles-ci. En  tant que modérateurs nous engageons notre responsabilité à neutraliser ou pas la nocivité des paroles émises dans notre environnement ; il nous appartient de le faire sans cultiver de dualité dans la relation de communication bienveillante que nous décidons d’initier. Il nous appartient d’oser parler haut, d’oser parler vrai et juste. Il nous appartient de nous afficher dans la plénitude de notre grandeur et note lumière.
  • – Vivre la maîtrise dans le quotidien. De nos choix, de nos gestes, de nos pensées  du quotidien    dépend notre avenir. C’est dans le  présent que se dessine le futur et son orientation.                   L’extraordinaire de la maîtrise se vit dans la maîtrise de l’ordinaire tournée vers la lumière, le        partage et la fraternité dans la conscience et la patience du discernement.
  • – Devenir et être digne de confiance. En tant que partenaires du divin, il nous appartient de relayer nos frères de lumière. Nos choix ne peuvent plus être une source d’obscurité dans nos vies et celles des autres, ni dans  le déroulement du plan. Arrêtons de nourrir les ombres qui nous maintiennent dans l’esclave de nos vies. Arrêtons de nourrir les peurs qui nous éloignent de notre réalité, de notre soi, de notre créativité.
  • – De vivre la joie et la partager à vivre dans la lumière. C’est se rendre  compte que rien ne peut    nous éloigner de notre propre lumière dans l’amour inconditionnel de soi et de la vie. C’est vivre le plaisir de voir dans le discernement de la conscience que tout en nous est lumière et orienter à cultiver cette lumière autour de nous. Nous rayonnons.
  • – D’être à l’écoute de sa richesse intérieure et des synchronicités dans notre orientation et notre  participation à la réalisation de la perfection du divin.
  • – D’user  du libre arbitre pour le voir disparaître à mesure que notre maîtrise se réveiller. Il n’est plus question  de libre arbitre quand nous sommes ancrés dans la lumière, nous sommes lumière, nous sommes amour. Voilà pourquoi dans l’univers, certaines « humanités » n’ont pas ce pouvoir du libre arbitre ; elles n’en ont plus besoin.
  • –  De faire les choses que nous avons envie et laisser la vie prendre soin de nous dans le               discernement  et la bienveillance  de notre conscience.
  • –   Cultiver la gratitude pour toutes ces choses qui nourrissent la joie, le plaisir de vivre le moment présent et les bonheurs quels qu’ils soient. De devenir conscient  que la vie nous offre ce dont nous avons besoin dans le cadre de notre épanouissement  fraternel.

Nos frères de lumières nous offrent leurs enseignements  à travers  diverses  canalisations ; ils nous exhortent à appréhender notre grandeur; ils nous disent et nous répètent que nous sommes leurs sœurs et frères. Alors pourquoi ne pas être  à leur image.

Il nous appartient peut être d’ouvrir « la voie de la fraternité galactique » là où nous sommes et de devenir la ou le partenaire actif de la grande migration de l’humanité dans la réalisation du divin.

Philippe bouhelier